Nos villages

Echebrune, le Bourg

Le village autour de l’église est notre centre historique.  Il garde le nom d’Echebrune mais on  l’appelle « le Bourg » pour le distinguer de l’ensemble de la commune.   Il se situe au carrefour de la D700 (route de Pons à Archiac) et de la D146 qui traverse en direction de Coulonges. 

Depuis la Mairie à Meussac, tourner à droite de la D144 (rue de la Cigogne) et suivre la route communale vers l’est (environ 2,4 kms). Cette approche offre une belle perspective sur la façade de l’église surtout en fin de journée.  Avant l’entrée du bourg on passe devant le cimetière à droite.

Echebrune Bourg compte 42 habitations et trois entreprises viticoles, dont une distillerie. 

Certaines maisons se situent de part et d’autre de la D700, appelée ici Rue de la Gare (jusqu’à la Deuxième Guerre Mondiale, le chemin de fer y passait).  D’autres propriétés bordent la D146 (Avenue des Tilleuls) en direction de Coulonges. 

La belle église romane et gothique, classée en 1902, domine le village. Le relief escarpé de son emplacement fait qu’elle surplombe les rues avoisinantes au nord (Rue des Chardons) et à l’ouest (Rue du Calvaire, Rue des Pèlerins). L’élévation du site offre de belles vues vers Meussac et Cognac.

Le petit bâtiment derrière l’église sur le flanc nord est une ancienne forge, (propriété privée maintenant), restaurée en 1997 par un chantier international de jeunes bénévoles.

Le deuxième monument classé à Echebrune est le calvaire, situé maintenant en bord de la route D700, au coin de la Rue du Calvaire.

Figers

Figers est le premier village traversé par la route départementale D144 en direction de Pérignac.  C’est le village le plus peuplé de la commune, avec 70 maisons, une distillerie et deux entreprises agricoles/viticoles.

A gauche de la D144 (appelée ici Rue de Morfond) quatre rues bordées de maisons et jardins traversent le centre de Figers, rejoignant la Rue des Prats qui longe l’arrière du village.  On y voit de beaux jardins potagers.  A l’ouest, des chemins (dont le sentier GR360) montent doucement vers les coteaux de vignes en direction de Bougneau. 

De l’autre côté de la D144, le Bas Figers compte 11 maisons le long de la Rue du Pérat.  Cette rue se termine à l’est dans des prés où passe le Médoc, petit affluent de la Seugne.

D’importants aménagements de la route départementale sont prévus dans les prochaines années pour sécuriser la traversée de Figers et ralentir la circulation.

Figers se prononce « Figé », un nom qui évoque peut-être des figuiers présents à une époque, bien que rien ne l’indique aujourd’hui.

Le Puy Haut

Après Figers la D144 monte doucement vers le Puy Haut (une altitude toute relative de 87 mètres qui offre de belles vues sur la campagne à l’est, jusqu’à l’église d’Echebrune). 

A droite de la D144 se dresse l’ancien temple protestant avec son clocher pointu en pierre.  En face, la Rue du Temple monte encore et contourne le Bois de Meussac (altitude 105m.).

Le Puy Haut compte 22 propriétés en tout, avec d’importantes installations viticoles (dont deux distilleries) au bord de la route départementale (Rue du Maine) et quelques maisons à l’orée du bois (Rue du Temple et Impasse du Château).  Le château en question, un domaine privé situé en hauteur près du bois, est une imposante demeure de la fin du 19ème siècle avec toit d’ardoises et lucarne.

L’ancien temple protestant est désaffecté au culte depuis les années 1950.  Un détail pittoresque en dit long sur l’histoire locale : la petite route qui part du temple en direction de l’église d’Echebrune se nomme « chemin de la messe » ! Le bâtiment sert actuellement d’atelier technique pour la commune.  Cette situation est provisoire, un nouvel atelier sera construit prochainement dans le bourg d’Echebrune.

Meussac

La D144 en direction de Pérignac passe directement du Puy Haut à Meussac.  La route poursuit sa montée entre le panorama de vignes à droite et le bois de Meussac sur les hauteurs à gauche.

Meussac compte 51 maisons, quatre entreprises viticoles dont trois distilleries. Le village s’étale le long de trois axes principaux : la départementale D144 (Rue de la Mairie), plus loin à droite Rue de la Cigogne qui se prolonge jusqu’au bourg d’Echebrune, et tout en haut à droite Rue du Château d’Eau.  Cette route panoramique contourne le Petit Bois de Meussac (altitude 107 mètres, troisième point culminant des alentours) et descend vers Usson et Rouchave au nord-est.

Meussac est le centre administratif de la commune, on voit la Mairie à gauche avec l’école attenante (c’est l’école élémentaire : classes CE2, CM1 et CM2).  Au-dessus, à la lisière du bois, la Salle des Fêtes construite en 2007.  Dans le même bâtiment, à droite de l’entrée, se trouve la cantine scolaire. Les repas des enfants sont préparés et cuisinés sur place.

La Mairie a été transférée du bourg d’Echebrune à Meussac au début du 20ème siècle (date à déterminer). Ayant déménagé deux fois, elle a repris place dans le bâtiment actuel en 2018.

Une petite place au centre du village sert de parking actuellement.  Au fond, deux bâtiments : la maison des associations (Comité des Fêtes et Comité de Chasse) et une ancienne salle des fêtes désaffectée qui sert de stockage.  La place est disparate et en mauvais état, un projet est à l’étude pour un éventuel réaménagement.

Quant au nom « Meussac », on nous signale un certain Messus, notable à l’époque gallo-romaine, qui pourrait être à l’origine du nom du village.

Usson

Ce village est situé à 3 kms du bourg d’Echebrune par la D146.  Tourner à gauche après le Logis d’Usson. 

Depuis Meussac, tourner à droite au château d’eau et descendre la route panoramique pour arriver en face du village (environ 2,5 kms depuis la Mairie).

Usson est limitrophe de Coulonges, au niveau de la Rue Joséphine.  25 maisons et trois entreprises viticoles à l’ouest de cette ligne appartiennent à Echebrune, y compris le Logis d’Usson.   

Le Logis d’Usson, propriété viticole, se trouve à l’emplacement de l’ancien Château d’Usson.  Cette belle demeure Renaissance du 16ème siècle a été démontée pierre par pierre entre 1886 et 1892 et reconstruite aux Egreteaux près de Pons.  A la fin du 20ème siècle elle a repris vie sous le nom (et le renom) de Château des Enigmes.

Rouchave

Rouchave est situé le long de la départementale D146 à environ 3kms du bourg d’Echebrune en direction de Coulonges.  Depuis Meussac on y accède par la Rue du Château d’Eau et par Usson. 

La D146 bifurque à droite et ensuite à gauche à l’entrée de Rouchave ; le nom Rue des Peupliers vient des arbres qui bordent la route à droite. Dans ce village on admire de belles propriétés et des jardins magnifiques.

Au milieu du village un chemin à droite mène à l’ancien lavoir, un site paisible et plein de charme ; c’est ici que le petit cours d’eau apppelé Le Biget prend sa source.

Rouchave est limitrophe de Coulonges, un ruisseau appelé le Riz fait la séparation.  En deçà de cette ligne, la commune d’Echebrune compte 25 maisons, deux entreprises viticoles (dont une possède une distillerie)  et une production de kiwis.

Les Allées, Le Fleuret, Le Balzar

Les Allées est un hameau niché à l’ouest du Bois de Meussac, altitude 97 mètres.  Sept maisons sont habitées, dont une grande propriété viticole au nord-est le long de la crête.

On accède depuis la départementale D144 de Meussac vers Pérignac en tournant à gauche dans la descente ; depuis le Puy Haut par la rue du Temple et contournant le bois; depuis la route de Cognac (D732) par la petite route qui passe à côté du moto-cross de Bougneau.

Le Fleuret, propriété viticole et de distillation, se situe au nord-est des Allées, en contre-bas, à l’orée du bois.  C’est un point de vue magnifique vers Cognac, Pérignac et le val de Charente, un panorama qui s’étend sur 40 kms.

Au nord-ouest, plus bas, le Balzar est une belle longère entourée de vignes.

La Combe des Vaux

Ce lieu-dit est situé à 1,5km à l’est du bourg d’Echebrune, en contre-bas de la route départementale D700 en direction d’Archiac.  Une voie communale à gauche descend dans cette vallée bien nommée.  Cette route se poursuit vers Rouchave (2kms).

Des fouilles archéologiques laissent supposer une occupation entre l’Âge du Bronze et l’Âge du Fer à cet endroit.

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